Le Monde (info ou intox) titre: Nicolas Sarkozy: sa mort affreuse par Jacque Chirac!!!!

Publié le par ENGELTODES


La liberté est une médaille à deux faces, la vôtre est celle d'autrui.

[Louly Bersianik]

Hé oui liberté d'expression que tu est belle, cependant, il ne faut pas en abuser...et pi quoi encore: la liberté on la ou on ne la pas? Suite a l'article sur ségolene Royale, je voudrais me repentir (Non c'est pas vrai) mais je ne voudrais pas que l'on me traitre de raciste ou de sexiste ou de droite ou de sarkoziste...donc j'ai décidé de réaliser un petit (oh c'est pas beau...) articles sur notre Président... Lets go!!!!!!!
Remarque: Noubliez pas de cliquer sur limage pour la voir en plus grand


Nicolas Sarkozy [nikɔla saʁkɔzi] (Sarkozy.ogg écouter), de son nom complet Nicolas, Paul, Stéphane Sarközy de Nagy-Bocsa, né le 28 janvier 1955 à Paris (17e arrondissement), est un homme d'État français, président de la République française et coprince d'Andorre depuis le 16 mai 2007.

Sa vie:

-Ancien élève du lycée Chaptal (Paris 8e) qu'il a quitté pour redoubler sa sixième au Cours Saint-Louis de Monceau[4] situé rue de Monceau à Paris, Nicolas Sarkozy obtient un baccalauréat B en 1973. Sa famille s’installe à Neuilly.

Étudiant à l’université Paris X Nanterre, il y obtient une maîtrise de droit privé en 1978 et effectue son service militaire à la base aérienne 117 (quartier Balard), dans le 15e arrondissement de Paris. Il appartient alors au Groupe rapide d'intervention chargé du nettoyage[5]. Il entre ensuite à l'Institut d'études politiques de Paris dont il ne ressort pas diplômé. Selon Catherine Nay, cet échec serait dû à une note éliminatoire en anglais[6]. Il obtient en février 1980 un DEA en sciences politiques avec un mémoire sur le référendum du 27 avril 1969.En 1981, après avoir envisagé le journalisme, il obtient le certificat d'aptitude à la profession d'avocat (CAPA), suivant ainsi les traces de sa mère. blablablablablablablablablablablabla et voila Cecilia heu non merde Carla Bon je suis désolé je risque de faire souvent des erreurs!!!!

Il y a quelques jours, juste avant les élections régionales, un journaliste aborde des passants dans la rue pour leur demander leur avis sur les candidats en lice.
Un premier passant fait :
- Non, je ne vais pas me déplacer pour aller voter.
- Pourquoi ?
- Parce que je ne connais aucun des candidats !
Le journalise s'adresse alors à un autre passant qui s'était arrêté pour écouter.
- Et vous ?
- Moi ? Eh bien moi non plus je ne vais pas aller voter...
- Ah bon ? Alors vous aussi, vous ne connaissez pas les candidats ?
- Ah non, moi, c'est parce que je les connais trop bien...


Sa Politique:

Ne nous affolons pas: la politique on va pas s'attarder...vu qu'il a pas finit le boulot...on se demande s'il la commencé...pi de toutes façon vous n'avez qu'a lire sa bio sur wikipedia!!!!!!!!


Interressons nous plus aux controverses:


Relations avec le groupe Lasserre


Icône de détail Article détaillé : Controverse sur les relations de Nicolas Sarkozy avec le groupe immobilier Lasserre à Neuilly-sur-Seine.

Nicolas Sarkozy a été mis en cause mi-février 2007 pour des relations entretenues avec le groupe immobilier Lasserre, en charge de nombreuses opérations immobilières à Neuilly depuis 1980[120]. Selon les articles publiés par Le Canard enchaîné dans ses éditions des 28 février, 7, 14 mars, 18 avril et 23 mai 2007, incluant des photocopies de factures, le décompte détaillé des aménagements complémentaires et des analyses faites à partir des actes notariés de la Conservation des hypothèques, Nicolas Sarkozy :

    * aurait fait bénéficier en mars 1997 le groupe Lasserre d’un « cadeau » de 750 000 euros sur l'achat des droits à construire sur l'île de la Jatte.
    * a acheté en juin 1997 un appartement au groupe Lasserre, principal partenaire immobilier de la ville de Neuilly-sur-Seine, dont il était maire, et aurait bénéficié lors de cet achat d’une réduction d’au moins 114 340 euros et également de prestations pour des aménagements complémentaires d'un montant de 279 290 euros, dont il a acquitté 60 980 euros.

La presse nationale et internationale a fait état des articles publiés dans Le Canard enchaîné. Nicolas Sarkozy, de son côté, a démenti l’ensemble de ces allégations sans apporter d’explications sur les factures et décomptes publiés par ce journal sauf pour celle qui concernait un escalier en chêne.

Le Canard enchaîné a précisé le 19 septembre qu'une enquête préliminaire avait été ouverte par le parquet de Nanterre et confiée à la Brigade de répression de la délinquance économique (BRDE). Cette affaire a été classée sans suite par le Parquet en octobre 2007.

Affaire Clearstream :

Icône de détail Article détaillé : Affaire Clearstream.

Le nom de Nicolas Sarkozy apparaît indirectement dans des listings truqués de la société Clearstream. Il se porte partie civile le 31 janvier 2006, relançant l'affaire. Selon un délateur surnommé « le corbeau », Nicolas Sarkozy aurait disposé de deux comptes dans une banque italienne (la Banca popolare di Sondrio), déguisés sous des noms proches de son identité. Le corbeau sous-entendait dans son courrier que les personnes citées, y compris Nicolas Sarkozy, auraient touché des pots-de-vin dans l'affaire des frégates de Taïwan.

Nicolas Sarkozy exige des explications auprès de Dominique de Villepin, alors ministre de l'Intérieur, et du directeur de la DST. La Banca popolare di Sondrio reçoit une commission rogatoire de la justice française, le 5 novembre 2004, et envoie une réponse négative le 16, affirmant que Clearstream ne détient pas de comptes personnels. Malgré cette célérité de la banque, ces résultats innocentant Nicolas Sarkozy n'ont été communiqués au juge Renaud Van Ruymbeke qu'à la fin de 2005. Le journaliste Stéphane Denis affirme dans une interview au Point du 11 mai qu'il avait transmis en septembre 2004 et avril 2005 un message oral du général Rondot à Nicolas Sarkozy sur l'enquête Clearstream. Nicolas Sarkozy a été entendu le 11 mai 2006 en tant que témoin assisté par le juge Jean-Marie d'Huy chargé de l'enquête.

Imad Lahoud, soupçonné par les services de police d'être l'auteur des falsifications des listings, a affirmé, début novembre 2006, après l'avoir précédemment nié, qu'il avait rencontré deux fois, en 2004, Nicolas Sarkozy, alors ministre de l'Économie, pour « évoquer » ce dossier. Nicolas Sarkozy a démenti cette allégation et fait établir que, le jour de la « rencontre » avancée par Lahoud, il était en voyage à l'étranger. Il assure, en outre, n'avoir appris toute l'histoire que par voie de presse. Le journaliste Éric Decouty affirme, pour sa part, que Nicolas Sarkozy aurait été mis au courant de la manipulation dont il était l’une des cibles plus tôt qu’il ne le prétend, en 2005, et qu'il a essayé de tirer profit politiquement de cette situation en laissant faire.

Médias:

Par contraste avec la période qui a suivi les défaites de 1995 et de 1999, Nicolas Sarkozy est l'objet d'une importante médiatisation depuis 2002. Il réalise ainsi dans l'émission 100 minutes pour convaincre le plus gros score d'audience à l'époque pour une émission politique en 2003, avec plus de sept millions de téléspectateurs. Il est le seul à avoir été invité trois fois à cette émission. En 2007, avec l'émission J'ai une question à vous poser, il atteint un pic de près de dix millions de téléspectateurs (et environ 8 millions en moyenne)

Il fait de son épouse Cécilia un de ses principaux conseillers dans ses ministères, puis son chef de cabinet à la présidence de l'UMP. Son couple et sa famille, mêlés à ses actions publiques et ainsi mis en scène, s'affichent dans les médias. Mais en mai 2005, des problèmes conjugaux surgissent et sont largement médiatisés, en particulier dans Le Matin, que Nicolas Sarkozy attaque en justice. Et le 26 août 2005, Paris Match présente même à la une Cécilia avec son ami Richard Attias. À la suite de cette publication, Nicolas Sarkozy, furieux, aurait usé de son influence auprès d'Arnaud Lagardère, dont le groupe est propriétaire de Paris-Match, pour faire limoger le directeur de l'hebdomadaire, Alain Genestar, selon ce dernier qui quitte son poste une année plus tard. Après la reformation de son couple, Nicolas Sarkozy explique, au début de 2006, qu'il « regrette » d'avoir présenté sa famille trop médiatiquement.

Selon le Canard enchaîné, Nicolas Sarkozy serait intervenu pour empêcher la publication d'un livre de Valérie Domain sur Cécilia Sarkozy chez First Editions en octobre 2005. Ce qui déclenche en France un débat sur la médiatisation de la vie privée des hommes politiques. La « biographie » de Cécilia Sarkozy par Valérie Domain a finalement été publiée, sous forme de fiction, le 8 février 2006, sous le titre Entre cœur et raison aux éditions Fayard. Le syndicat de journalistes SAJ-UNSA l'accuse par ailleurs d'être intervenu pour que l'accréditation permettant à un journaliste de recevoir des informations directement de l'administration, soit ôtée à Raphaëlle Picard, de l’AFP, auteur d’un reportage sur des perquisitions menées par erreur, lors de la descente massive de police aux Mureaux, à 5 h 30 du matin le 4 octobre 2006. Cette descente a provoqué une enquête sur son déroulement et ses conséquences. Une source anonyme interne du journal Libération, confirmée par son PDG Laurent Joffrin, affirme que Nicolas Sarkozy a appelé, le 7 mars 2007, l'actionnaire principal du journal, Édouard de Rothschild, pour se plaindre d'un titre qu'il jugeait outrancier : « Impôt sur la fortune de Sarkozy : le soupçon », en qualifiant Libération de « journal de gauche de merde ». Le lundi 16 avril 2007, Joseph Macé-Scaron, l'ancien directeur du Figaro Magazine, affirme sur RTL qu'il a été « démissionné » du Figaro pour avoir refusé de céder à des pressions sarkozistes ; il estime que des menaces sont exercées par Nicolas Sarkozy sur l'ensemble des journalistes politiques.

Selon le Canard enchaîné du 23 mars 2007, lors de la préparation d'une émission de Christine Ockrent, Nicolas Sarkozy, excédé par l'attente avant le maquillage, se serait emporté et aurait dit « il faut la virer » à propos de la direction de la chaîne France 3.

Nicolas Sarkozy est intervenu le mardi 2 mai 2007 sur France Inter concernant les accusations de main-mise sur les médias dont il est l'objet : « On me dit que les médias sont à ma solde. Mais qui peut croire une chose pareille, quand on voit le déchaînement qu'a suscité ma candidature, mon projet », citant deux des soutiens de Ségolène Royal, Libération et Le Nouvel Observateur, dont les actionnaires majoritaires sont respectivement Édouard de Rothschild (un ami de Nicolas Sarkozy) et Claude Perdriel, parmi les grandes fortunes françaises.

Au soir de son élection le 16 mai 2007, Nicolas Sarkozy fête sa victoire au Fouquet's où sont invités plusieurs actionnaires ou employés de médias français : Bernard Arnault, Martin Bouygues (TF1), Serge Dassault (Le Figaro), Alain Minc (Le Monde), François Pinault (Fnac) ou Albert Frère (M6), le seul journaliste présent étant Nicolas Beytout (Le Figaro).

Au lendemain de l'élection présidentielle de 2007, une nouvelle controverse médiatique a surgi à l'occasion de sa « retraite » sur le yacht de Vincent Bolloré, le Paloma

Peu après la confirmation de la vente du journal économique Les Échos par le groupe LVMH, le directeur de la rédaction Erik Izraelewicz a rapporté que, lors d'une entrevue à l'Élysée le vendredi 16 novembre 2007, Nicolas Sarkozy, lui a appris lui-même l'arrivée prochaine de Nicolas Beytout pour diriger le journal. De fait, Beytout devient le responsable du pôle média de LVMH trois jours plus tard. Lors de la même entrevue, Nicolas Sarkozy a reproché aux journalistes des Échos de s'opposer au rachat de leur journal par LVMH, dont l'actionnaire principal est Bernard Arnault, témoin de mariage de Nicolas Sarkozy.

Suite à la conférence de presse du mardi 8 janvier 2008, certains commentateurs ont reproché le ton parfois agressif de Nicolas Sarkozy envers certains journalistes (notamment le rédacteur en chef de Libération, Laurent Joffrin), et l'impossibilité pour ces derniers d'avoir recours au droit de suite, comme cela se pratique dans les pays anglo-saxons, lorsque le président ne répond pas précisément à la question qui lui est posée.

Relation avec les électeurs du Front national
:

Nicolas Sarkozy a à plusieurs reprises, et ce depuis 1998, rappelé son intention de récupérer les électeurs du Front national [N 4]. Nicolas Sarkozy dénonce parallèlement les positions du Front national, comme lors de son débat avec Jean-Marie Le Pen lors de l'émission 100 minutes pour convaincre, diffusé sur France 2, où il affirme son opposition avec les « idées d'extrême-droite ». Des personnalités politiques de l'opposition lui reprochent de vouloir s'attirer l'électorat du Front national. Ainsi, Jack Lang affirme que « Nicolas Sarkozy est un républicain, à la différence de Le Pen » mais parle de « dérive « paraxénophobe » ». De la même façon, Act Up ou les Guignols de l'info présentent médiatiquement l'ex ministre de l'Intérieur et Jean-Marie Le Pen sur un pied d'égalité. Ainsi, en janvier 2006, l'association Act Up publie des affiches comportant la photographie de Nicolas Sarkozy et le slogan « Votez Le Pen ».

Reprise de points du programme du Front national

Le collectif Ré-So, qui s'affiche publiquement contre Nicolas Sarkozy, estime dans un article que plusieurs points du programme du Front national ont déjà été appliqués par Nicolas Sarkozy lors de ses mandats ministériels. Il s'agit de points comme la coopération étroite entre la police et la Justice, la facilitation des contrôles d'identité, l'instauration d'une période probatoire pour tous les mariages mixtes et l'expulsion effective des immigrés clandestins. Certaines de ces mesures étaient déjà effectives mais ont été renforcées.

Certaines autres de ses mesures et positions sont critiquées par Jean-Marie Le Pen : réforme de la double peine, prise de position en faveur de la discrimination positive, du financement public de mosquées et de quotas d'immigration, positions que le Front national combat. Nicolas Sarkozy s'est également prononcé en faveur du droit de vote des résidents étrangers, en situation régulière et présents depuis au moins dix ans sur le territoire français, aux élections locales. Il a par ailleurs encouragé la nomination d'un « préfet musulman », Aïssa Dermouche, nommé préfet du Jura.

Le pourcentage de votes pour l'extrême droite a reculé pour la première fois de 19,20 % (FN+MNR) en 2002 à 10,44 % (FN uniquement) en 2007. Jean-Marie Le Pen retombe ainsi à ses niveaux d'avant 1988. Françoise Fressoz dans Les Échos observe qu'« on le doit en partie à la stratégie du président de l'UMP ».-

Le petit pierre revient de l'ecole et demande a son pere :
"Papa, j'aurais besoin de tes lumieres. Pourrais-tu me parler de la politique ? j'ai un devoir la-dessus a rendre pour demain".
Apres un instant de reflexion son pere lui repond :
"Bien, je pense que la meilleure methode pour t'expliquer tout ca est de faire une analogie avec notre famille.

Je suis le capitalisme car je nourris la famille.
Ta mere est le gouvernement car elle controle chaque chose.
La bonne est la classe ouvriere car elle travaille pour nous.
Toi tu es le peuple et ton petit frere c'est le futur.
En esperant que ca puisse t'aider".

"Merci papa" dit le petit Pierre.
"Je ne comprends pas tout mais je vais y reflechir".

Dans la nuit petit Pierre est reveille par les cris de son petit frere.
Il constate que ses couches sont sales.
Il se rend dans la chambre de ses parents et essaie de reveiller sa mere sans succes.
Il remarque que la place de son pere est vide.
Il retrouve son pere au lit avec la bonne...
En desespoir de cause, il retourne se coucher.

Le matin suivant, au petit dejeuner il dit a son pere :
"Papa, je crois que cette nuit j'ai tout compris a la politique."
"Excellent mon garcon et qu'as-tu appris ?"

"J'ai appris que le capitalisme baise la classe ouvriere tandis que le gouvernement roupille tranquillement, ignorant le peuple et laissant le futur dans la merde !"


Actions en justice


Durant sa carrière ministérielle

    * Georges Frêche, président de la communauté d'agglomération de Montpellier, s'interroge le 4 novembre 2005, lors de l'inauguration d'une mosquée à Montpellier, sur le rôle de la police pendant les émeutes de l'automne 2005 : « je ne suis pas sûr que dans les villes parisiennes où ils ont incendié des voitures, ce soient des musulmans qui le font. Ça serait des flics déguisés en musulmans que ça ne m'étonnerait pas. J'ai connu ce genre de provocations, j'ai connu mai 1968. Quand les gens en auront marre, ils voteront Sarkozy ». Le ministre de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy, porte plainte le 16 décembre 2005, pour « diffamation envers une administration publique » devant le tribunal correctionnel de Montpellier qui relaxe Georges Frêche ; le parquet fait appel et le 11 septembre 2007, la cour d'appel de Montpellier condamne George Frêche à une amende de 1 500 euros. Dans un arrêt rendu le 17 juin 2008, la chambre criminelle de la Cour de cassation annule cette décision.

    * Romain Dunand, militant jurassien du Réseau éducation sans frontières, adresse le 19 décembre 2006 un courriel au ministère de l'Intérieur dans lequel il demandait la libération d'un militant marseillais de RESF, Florimond Guimard, placé en garde à vue pour s'être opposé à l'expulsion d'un parent d'élève sans papiers. Il comparait la politique de Nicolas Sarkozy au régime de Vichy. Condamné le 17 janvier 2007 par le tribunal correctionnel de Paris, à 800 euros d'amende, Romain Dunand fait appel. La cour d'appel de Paris, le 26 novembre 2008, fait passer l'amende infligée à Romain Dunand à 200 euros ferme. Il est également condamné à verser un euro symbolique à Nicolas Sarkozy, partie civile au procès.

Durant son mandat présidentiel


Icône de détail Article détaillé : Actions en justice des Présidents de la République française.

François Mitterrand s'était interdit de saisir la justice pendant la durée de son mandat. Jacques Chirac avait fait de même. Nicolas Sarkozy, depuis le début de son mandat, a effectué plusieurs recours devant la justice.

Jusqu'à maintenant, ses plaintes concernent :

    * l'atteinte au droit à l'image [réf. souhaitée]
    * l'atteinte à l'intimité de la vie privée [réf. souhaitée]
    * la dénonciation calomnieuse [réf. souhaitée]
    * le faux, l'usage de faux et le recel[réf. souhaitée]
    * l'offense au chef de l'État

Bon ben voila aprés ca moi je suis direct embauché chez closer, ici Paris, Paris match, choc, oups, Le Monde, Le canard Hep doucement je tiens a garder mon honneur en allant chez Charlie Hebdo... Merde on a pas le droit a la pub!!!!!!!!!!!

Distinctions et décorations


    * Grand-Croix de la Légion d'Honneur en 2007 (Chevalier en 2004)
    * Grand-Croix de l'Ordre national du Mérite en 2007
    * Commandeur de l'Ordre de Léopold (Belgique) en 2004
    * Médaille du RAID pour son rôle lors de l'affaire de la maternelle de Neuilly
    * Prix Orwell 2005 pour l'« ensemble de son œuvre », décerné par Privacy International.

    * En tant que président de la République :
          o Co-prince d'Andorre
          o Grand maître de la Légion d'honneur
          o Chanoine d'Honneur de l'Archibasilique Saint-Jean de Latran, titre décerné aux plus hauts dirigeants français, rois y compris, depuis Henri IV, au Vatican.

Nicolas Savais-tu que: Toute médaille à son revers?


Pff "la politique 5ans de droit et tous le reste de travers" Coluche


Monsieur le président, vous remerciant de votre attention, veuillez accepter mes salutations les plus distinguées

ENGELTODES



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O
Je trouve que votre article est complètement stupide, inutile et outrageux : vous ne respectez pas la fonction exercée par Monsieur Sarkozy soit président de la République, vous ne montrez que les aspects négatifs ( les controverses et les actions en justice) et vous n'attachez aucune importance aux avantages que nous a apporté, nous apportes et nous apportera Monsieur Sarkozy! De plus, je trouve vos blagues de mauvais gout au vu de certains mots qui ne devraient pas être employés, enfin, je trouve outrageux l'image et le titre qui y est affecté. La liberté d'expression à ces limites Monsieur "Engeltodes"
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